Dénoncer et punir les crimes
Dénoncer les crimes
En 1940-1941, les nazis entreprennent l’extermination des handicapés allemands. Cette politique est dénoncée par le Vatican et la hiérarchie catholique allemande, avec des échos dans la presse alliée :
Dénoncer l’assassinat des handicapés
On trouve dans la presse clandestine des échos de la déportation à l’Est des juifs :
La presse et des organismes alliés témoignent de la politique exterminatrice des nazis dont elle s’efforce de comptabiliser les effets :
Préparer la punition des crimes
Dès les débuts de la guerre, les Alliés manifestent leur volonté de punir les crimes de guerre nazis :
La volonté affirmée de punir les crimes de guerre
Cette volonté suscite de nombreux débats, certains commentateurs doutant de la volonté réelle des Alliés, d’autres jugeant que tous les Allemands, et non les seuls nazis, portent une part de responsabilité :
Les criminels tentent d’échapper au châtiment
Dès avant la fin de la guerre, les Alliés préparent la punition des criminels nazis. Si les Soviétiques entreprennent de les juger au fur et à mesure de l’avancée de l’Armée Rouge, une Commission d’enquête des Nations unies sur les crimes de guerre est mise en place pour recenser les crimes, avant l’établissement du Statut de Nuremberg :
La punition des criminels avant même la fin de la guerre
La mise en place des règles du jugement des criminels de guerre